Santé et SRAS-CoV-2
Une actualité marquée par la pandémie de SRAS-CoV-2 (syndrome respiratoire aigu sévère Coronavirus 2).
Le SRAS-CoV-2 est une épidémie mondiale ayant conduit à une hausse de la mortalité. Même si mortalité est relativement faible en France, le vieillissement de la population a conduit à une augmentation du nombre de morts par rapport aux grippes de 2015 et 2017 (source INSEE).
Après une quarantaine d’années de réduction drastique des capacités hospitalières, les patients atteints du SRAS-CoV-2 se sont ajoutés à un système hospitalier déjà saturé.
Le propre du SRAS-CoV-2 est de nécessiter des infrastructures hospitalières pour recevoir des patients atteints d’une maladie nécessitant une assistance respiratoire pour des durée parfois assez longues. L’hôpital étant déjà saturé de manière chronique, l’arrivée de patients augmenté la tension déjà existante.
Face au vieillissement de la population française et aux risques d’épidémies de SRAS (syndromes respiratoires aigus sévères), il est crucial d’augmenter drastiquement les capacités hospitalières avec une attention particulière aux matériels d’assistance respiratoire.
Personne ne doit être inquiété pour son refus de participer à une expérimentation médicale.
La stratégie du gouvernement français a été de privilégier des solutions de traitements expérimentaux dispensés massivement. Il convient ici d’être prudents dans une telle stratégie car il n’existe aucun recul sur de tels traitements. Personne ne doit ainsi être forcé à faire partie d’un tel essai, qu’il s’agisse de militaires, de personnel de santé ou d’autres professions publiques.
Famille et protection de l’enfance
La famille : première communauté naturelle de résistance à l’oppression
La famille est une réalité irremplaçable. C’est la première des communautés naturelles. Elle est fondamentale pour la vie de l’Homme et ne peut être remplacée par rien d’autre. C’est la raison pour laquelle les régimes totalitaires cherchèrent toujours à briser la famille. Séparer les personnes les unes des autres en s’attaquant à la famille est la marque des totalitarismes. Il est en effet beaucoup plus simple de commander à une somme d’individus séparés les uns des autres que de donner des ordres à des communautés constituées.
La famille : le premier espace de solidarité et d’éducation des enfants
La famille est le premier lieu de transmission et d’apprentissage de l’enfant. Parce qu’elle transmet la vie, la famille est tournée vers l’avenir. Elle hérite à ce titre d’un rôle fondamental. Elle est le premier espace de solidarité et d’éducation des enfants. Le premier rôle des parents consiste à accueillir et aimer les enfants mais aussi à les éduquer.
L’aide aux mères seules et isolées est une priorité
Les nombreuses difficultés rencontrées par les familles (séparations, accidents de la vie…) ont un impact sur les enfants. Il convient donc d’aider particulièrement les parents qui doivent élever des enfants seuls. Les mères seules et isolées sont particulièrement vulnérables et méritent d’être soutenues par la Nation.
Solidarité intergénérationnelle et retraites
L’endettement massif correspond à la ponction de jeunes générations par des générations plus âgées.
L’explosion de l’endettement de la France est un scandale puisque des générations empruntent de l’argent en laissant le soin aux générations futures de payer l’addition. Les déficits associés aux budgets déséquilibrés depuis les années 1970 sont ainsi reportés sur les générations suivantes. La solidarité intergénérationnelle tend ainsi à disparaître, en particulier parce que des générations cupides ont voté pour des transferts sociaux destinés à être payés par les générations futures. Puisque cet endettement est structurel, et non exceptionnel, comme cela peut être le cas à l’issue d’une guerre, il s’apparente à du vol.
Le modèle du clientéliste a fait exploser le déficit
Voulue par une majorité des électeurs, la logique de la ponction des générations suivantes divise la société française alors que les Français devraient plutôt être invités à participer à une aventure collective qui rapproche les générations. En assurant une pseudo-solidarité à des coûts exorbitants, en favorisant trop souvent les phénomènes de rentes, l’échec largement prévisible est avéré.
La famille est au cœur de la solidarité.
La première solidarité est familiale, c’est la raison pour laquelle il est injuste de taxer le patrimoine transmis d’une génération à une autre par les fameux « droits de succession ». En ligne directe, cela équivaut à une « double taxation » puisque, en plus de donner des enfants pour constituer la force vive de la Nation, les impôts de succession viennent appauvrir un peu plus ces familles qui ont déjà beaucoup donné et continuent à financer aujourd’hui le système de retraire par répartition. Il n’y a aucune raison de « remettre en jeu » les biens d’une famille lorsqu’ils sont transmis d’une génération à une autre en ligne directe.
Des élites politiques irresponsables ont vendu les actifs des Français…
Le patrimoine d’infrastructures détenu par la Nation (autoroutes, aéroports, réseaux de transport d’énergie…) a été dilapidé au profit de sociétés privées, de fonds de pension, de fonds d’infrastructures, de compagnies d’assurances… D’une certaine manière, le fonds de retraite public des Français a été vendu.
De prétendus « spécialistes » réfléchissent encore une fois à l’envers.
Les trois solutions rabâchées à longueur de journée dans des médias se prétendant « spécialisés » en « économie », sont de recourir soit à l’augmentation de la durée de cotisation (décaler le départ à la retraite), soit à l’augmentation des prélèvements, soit à la baisse des retraites. Ce n’est évidemment pas la bonne approche. Investir dans un fonds souverain public destiné à payer les retraites est une autre solution, et peut-être même la seule, pour résoudre le problème actuel.
Constituer un fonds souverain public pour financer les retraites.
Il convient de constituer un fonds souverain public pour participer au financement des retraites, au moins pour une retraite de base, en regroupant le peu d’actifs restants (actifs de transports d’énergie…) et en acquérant de nouveaux actifs, principalement des infrastructures assurant des revenus récurrents. Avec un tel montage, le recours à la dette pourrait être massif et serait à l’avantage des Français en tant que collectivité nationale.
Sortir du piège des retraites par répartition est essentiel.
La constitution d’un fonds souverain permettrait de sortir du piège du système de retraite par répartition à un moment où la population active peu nombreuse du Baby-Crash doit payer les retraites d’une population nombreuse, celle issue du Baby-Boom, partie tôt à la retraite, vivant plus longtemps et dont la retraite a été calculée sur des bases plus généreuses qu’aujourd’hui.
Handicap, dépendance et accueil de la fragilité
La fragilité est au cœur de la nature humaine
Le handicap est une des formes de fragilité qui rend, le plus souvent, des personnes dépendantes d’autres personnes. La fragilité peut être rencontrée à la naissance, par des accidents de la vie mais aussi par la vieillesse. L’accueil de la fragilité d’une personne par le groupe qui l’entoure ou la société est d’une importance vitale.
L’accueil de la fragilité ne se résume pas seulement au développement d’infrastructures
La dépendance est souvent la conséquence d’une fragilité. Mettre en place les infrastructures pour permettre aux personnes dépendantes de mieux vivre au sein de la société est crucial. Il ne s’agit pas uniquement d’infrastructures mais aussi d’attention aux plus fragiles, ce que chaque personne peut devenir à un moment de sa vie.
Le degré de civilisation d’une société se mesure à l’attention portée aux plus fragiles
La perte d’autonomie, quelle qu’en soit la raison, requiert des infrastructures d’accueil des personnes fragiles. Mais il serait réducteur de penser que l’accueil ne tient qu’à des budgets. Il s’agit d’une attitude de chacun qui peut voir dans l’autre une occasion de rencontre, de partage et d’amour.
Pouvoir donner une place aux personnes fragiles par le travail
Il est essentiel pour chaque personne d’avoir un rôle au sein de la société, de se mettre au service du groupe. La fragilité rend souvent l’insertion dans la vie collective plus difficile mais il convient de redoubler d’efforts pour donner autant d’opportunités que possible aux personnes qui expriment le souhait d’avoir une activité (travail, service…).
Lutte contre la pauvreté
La pauvreté est de plus en plus visible
De nombreux facteurs rendent la pauvreté de plus en plus visible. La politique migratoire inconséquente a créé des situations ubuesques. Avec des populations vivant dans des conditions de pauvreté extrêmes, cette situation relativement nouvelle est à prendre en compte aujourd’hui.
La pandémie actuelle augmente mécaniquement la pauvreté
Avec le ralentissement de l’activité économique, de nombreuses personnes ont perdu leur emploi. Les étudiants ont par exemple été largement privés d’activité rémunérée. Cette situation est grave et doit être prise en compte très sérieusement.
L’éclatement des familles fait souvent reposer l’éducation des enfants sur un seul conjoint
La société actuelle compte de plus en plus d’enfants élevés par un seul de leurs parents. La rupture du mariage conduisait souvent à des indemnités compensatoires versées par l’un des conjoints. Avec la baisse drastique du nombre de mariages, la formalisation de contrats plus souples comme le Pacte civil de solidarité (PACS) ou bien l’accueil d’enfants sans aucun contrat entre conjoints, les indemnités compensatoires disparaissent progressivement et ont souvent pour conséquence des contraintes budgétaires, en particulier pour les parents élevant leurs enfants seuls.
Éducation et liberté scolaire
L’école devrait être une école de l’instruction, du savoir-faire et de la culture.
L’école devrait être « une école de l’instruction, du savoir et de la culture, une école de la transmission des connaissances et des règles de vie sociale, une école où l’on enseigne afin de conférer aux élèves, futurs adultes, les moyens de la liberté de penser, de créer et d’agir » (Laurent Lafforgue).
Reconnaître et valoriser le travail des enseignants est urgent. Avec les familles notamment, ce sont eux qui transmettent un savoir et une Culture.
Les efforts et le talent de ceux qui sont chargés de transmettre le savoir et la Culture sont souvent extraordinaires. Il convent cependant de veiller à ce que l’Éducation nationale ne devienne pas un véhicule chargé d’imposer des idéologies (gender, queer…).
Dans le domaine de l’éducation, l’école vient en appui de la famille.
La mission de l’école est d’abord l’instruction. La première mission d’éducation revient aux parents qui voient l’enfant grandir sous leurs yeux. L’école permet ensuite de mutualiser des moyens pour transmettre des connaissances et soutenir la famille dans l’éducation de l’enfant pour lui permettre de faire un usage juste de sa liberté et de participer activement à la vie de la cité.
La liberté scolaire, à l’instar de la liberté de conscience ou de la liberté religieuse, est un principe fondamental qui devrait être inscrit dans la Constitution.
La liberté d’éducation n’empêche pas que les impôts servent à financer les études de ceux qui n’en ont pas les moyens mais il n’y a en revanche aucune raison que les parents qui ne veulent pas confier leurs enfants aux établissements publics ne récupèrent pas une partie de la part équivalente de budget public destinée à l’enseignement de leurs enfants (chèque scolaire).