Mémoire et Histoire

La France lutta contre l’esclavage jusqu’à l’avènement de l’État moderne

Dans son Histoire, la France lutta contre l’esclavage et rachetait notamment les esclaves européens dont s’emparaient les Barbaresques d’Afrique du Nord. Le règne de Louis XIV, celui qui marqua la transition de l’État médiéval vers l’État moderne, c’est-à-dire un affranchissement du christianisme, établit malheureusement l’esclavage dans les colonies, rompant la tradition française qui s’y était toujours opposée, alignée dans ce domaine sur la position de l’Église catholique romaine.

Vision partielle et partiale, seule la traite occidentale a été reconnue à ce stade

La Loi « Taubira » de 2001 précise que « La République française reconnaît que la traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l'océan Indien d'une part, et l'esclavage d'autre part, perpétrés à partir du XVe siècle, aux Amériques et aux Caraïbes, dans l'océan Indien et en Europe contre les populations africaines, amérindiennes, malgaches et indiennes constituent un crime contre l'humanité ».

Condamner fermement tous les crimes contre l’humanité liés à l’esclavage

La mise en esclavage d’Européens chrétiens, par exemple au Moyen-Âge dans les Balkans par les Mamelouks, ou plus proche de notre époque l’enlèvement de chrétiens en Méditerranée occidentale par les pirates dits « barbaresques » partant des possessions de l’Empire ottoman pour écumer les mers prouvent que ce ne sont pas que les Européens qui participèrent à l’ignoble traite des esclaves.

La France doit promouvoir une dénonciation collective des crimes contre l’humanité liés à l’esclavage, permettant d’arrêter des processus de victimisation qui déresponsabilisent trop d’acteurs

Les pays impliqués dans l’esclavage devraient condamner les traites auxquelles ils participèrent, que la traite fut européenne transatlantique, arabo-musulmane méditerranéenne et transsaharienne, mais aussi intra-africaine. Ceci aurait pour mérite de reconnaître que de nombreux pays, pas seulement occidentaux, ont leur part de responsabilité.

L’entrée de la France dans la modernité philosophique et la naissance de l’État moderne inaugurèrent l’ère des massacres de masse

Avant l’apparition de l’État moderne, la théorie de la « guerre juste » élaborée par Saint Augustin puis Saint Thomas d’Aquin au Moyen-Âge  (jus ad bellum, jus in bello, jus post bellum…) était parvenue à dompter, pour partie, la nature humaine en donnant une éthique à la guerre. L’émergence de l’État moderne et son corollaire, la déchristianisation, y mirent fin.

Sortir la Révolution française du champ de la propagande politique est nécessaire.

La Première République décida que les Vendéens seraient « hors-la-loi », c’est-à-dire privés de la protection de la loi. En effet, Robespierre considérait que la « protection sociale n’est dûe qu’aux citoyens paisibles ; il n’y a de citoyens dans la république que les républicains ». La Révolution française développa et mit en pratique le terrorisme d’État.

Garder la mémoire du génocide vendéen

Recourir au Droit de la Cour pénale internationale a permis, d’une certaine manière, d’« arbitrer » l’Histoire. La législation française considère pour sa part qu’il faut qu’il y ait « exécution d’un plan concerté », ce qui a aussi été démontré. Pour garder la mémoire du génocide des catholiques vendéens à l’instar de la reconnaissance du génocide des chrétiens Arméniens et de celui des Juifs, il convient de voter une loi tendant à la reconnaissance des opérations militaires en Vendée en 1793 - 1794 en tant que « crime de génocide » suivant la définition issue du Statut de Rome de la Cour pénale internationale (traité qui a créé la CPI).

Après avoir reconnu le génocide des Juifs en Droit international après la Deuxième guerre mondiale, le génocide des chrétiens arméniens en Droit français en 2001, il convient de reconnaître le génocide des catholiques vendéens en Droit Français, une condition pour la pacification des esprits et la réconciliation des Français.

Culture

Une Culture française à défendre et à transmettre.

Il existe en France de nombreuses cultures locales, entre autres celles de ses provinces, de ses villes et de ses villages, mais il y a aussi une Culture propre à la France. La preuve en est que beaucoup de Français, mais aussi d’étrangers, aiment la Culture française pour l’idée qu’ils s’en font. Cette Culture est véhiculée en premier lieu par une langue, le français, qui en constitue un patrimoine majeur.

Une Culture française à défendre et à transmettre.

D’origine latine, le français est une langue permettant de penser le monde d’une manière propre. C’est la langue de l’honneur chevaleresque et de l’amour courtois, capable d’opérer un « miracle » lorsqu’il s’agit d’amour et de beauté. La Culture française peut s’approcher par les sens, notamment l’ouïe, la vue, le goût et l’odorat.

« la Nation existe « par » la culture et « pour » la culture, et elle est donc la grande éducatrice des hommes pour qu’ils puissent « être davantage » dans la communauté ». Jean-Paul II

La Femme au centre de la Culture française

La Culture française est celle qui donne aux femmes une place primordiale. Il serait même possible de penser que cette Culture en particulier a donné une place fondamentale à la Femme en lui reconnaissant sa place unique dans l’humanité, au cœur de la Culture française mais aussi européenne et occidentale.

Un patrimoine unique au monde à protéger et partager

Au-delà de la Culture française, on peut ajouter que la France a une âme, et cette âme est française. Le patrimoine permet de toucher cette âme, il est donc d’une importance vitale.