Emploi et lutte contre le chômage

Le libéralisme de l’Empire de l’UE a pour objet de mettre en concurrence les « régions » de l’Empire.

Le pari du libéralisme est que la somme des cupidités individuelles apporte un bien meilleur (La Fable des abeilles, Mandeville, début XVIIIe siècle).

L’ADN de l’Empire de l’UE est le libéralisme.

Pour imposer le libéralisme absolu, l’Empire de l’UE eut pour objectif de de promouvoir le moins disant social et fiscal. La concurrence effrénée dans des secteurs « tels que la comptabilité, l’architecture, les services à domicile, les services d’hébergement et de restauration, les services de taxi et de location de véhicules avec chauffeur » est l’objectif de l’Empire libéral de l’UE. Il s’agit ainsi d’« éliminer les obstacles à l'activité dans le secteur des services, en particulier dans les services aux entreprises et les professions réglementées » (UE, Journal officiel de l’UE).

La concurrence déloyale mise en place par l’Empire de l’UE prive les Français de nombreux emplois.

Les lois de l’Empire de l’UE (la directive services dite « Bolkestein »…) permettent à des entreprises étrangères au sein de l’Empire de l’UE de travailler en France sans payer les charges sociales et fiscales. Cette concurrence déloyale nuit gravement aux Français qui voient des entreprises étrangères opérer en France sans être soumises aux mêmes règles (fiscalité, montant des salaires…).

La stratégie démographique  de l’Empire libéral de l’UE est de faire appel à une immigration massive pour réduire les coûts.

Pour le Conseil économique et social de l’Empire de l’UE, « un scénario de non-immigration en Europe aurait les conséquences suivantes : (…) les marchés de l’emploi seraient probablement soumis à une pression insupportable, des industries entières feraient faillite (…) les systèmes de retraite pourraient devenir insoutenables, le secteur de la santé et des soins risquerait de s’effondrer (…) ». L’idée de cette politique inconséquente est d’importer des travailleurs moins bien payés pour réduire les prétentions salariales des « autochtones ». Rien n’est dit sur les risques sécuritaires et sociaux souvent associés à cette politique.

Les élites libérales françaises ont dilapidé les joyaux industriels français.

Les grands groupes nationaux qui faisaient la fierté de la France ont été détruits par des élites inconséquentes. Ces grands groupes étaient pourtant précieux pour faire face aux différentes crises. Des irresponsables politiques ont appuyé cette stratégie de la terre brûlée.

Valoriser les métiers manuels qui sont un moyen privilégié de participer à la communauté.

La redécouverte des métiers manuels par des personnes très diplômées traduit aujourd’hui, et c’est tant mieux, le besoin de l’Homme de travailler de ses propres mains. L’activité manuelle est pleine de sens. Il convient donc de développer des parcours variés pour les qu’apprenti au sein de formations d’apprentissage qui comportent une dominante « terrain » extrêmement profitable (entreprise, collectivité, armées…).

Protéger les personnes dans un monde qui voit moins de contrats de travail et plus de contrats de service.

Le recours au contrat de travail à durée indéterminée se réduit aujourd’hui au profit de contrats de travail plus flexibles, prenant souvent la forme de contrats de services facturés via une société unipersonnelle comme le permet le statut de micro-entrepreneur ou bien l’usage de Chèque emploi service universel (CESU). Le rôle de la puissance publique doit par conséquent évoluer pour veiller à protéger les citoyens même s’ils sont souvent moins protégés que s’ils exerçaient leur activité avec un contrat de travail.

Prendre en compte les changements structurels liés à la révolution digitale.

La société « numérique » a engendré l’éclosion d’une nouvelle économie. L’espace physique dédié aux activités professionnelles évolue. De plus en plus de travail peut se faire à distance, souvent au domicile des employés ou dans des espaces partagés plus proches. La société « numérique » a ainsi pour conséquence de modifier substantiellement le rapport de la personne à l’espace. Cette révolution numérique peut être une chance mais aussi un risque pour certains.